Le Centre algérien de développement du Cinéma (Cadc) lance, du 12 au 17 mars à Alger, la Semaine du film documentaire, avec la projection de douze films aux thématiques différentes, indiquent les organisateurs.
Accueillis à la salle de cinéma El Khayam, douze longs métrages documentaires aux contenus en lien avec l’histoire, l’anthropologie et le patrimoine animeront cette événement, initialement prévu en décembre dernier à la salle de la cinémathèque, et reporté en raison de la hausse des cas d’infection au coronavirus aux dates prévues.
Cet événement comptera notamment les documentaires, « André Ravereau », de Jean Asselmeyer, « 143 Rue du Désert » de Hassan Ferhani, « Babylone Constantine » de Sid Ahmed Semiane, « Emir Abdel kader » de Salem Brahimi, « Sophonisbe, Reine sacrifiée de Cirta » du regretté Abdallah Touhami, « UGEMA » de Mohammed Latréche, « Les Camps de Regroupements » de Said Oulmi, « A Mansourah tu nous as séparés » de Meriam Dorothée Kellou et « Enrico Mattei et la Révolution algérienne » de Ali Ayadi.
Les documentaires, « Patronymes Algériens, Haine Française » de Fatiha Bourouina, « Bahrouna » de Fatiha Afiane et « Ni là bas, ni là bas » de Hocine Saadi seront présentés en avants premières.
Pour rappel, le Cadc avait programmé cette manifestation du 22 au 27 janvier mais les organisateurs ont dû la déprogrammer à cause de la propagation importante de la pandémie à l’époque boostée par le variant Omicron. .