Jusqu’à il y’a deux mois, l’Iran et le Venezuela étaient en tête des pays de l’axe du mal, selon les Etats-Unis.
Les deux pays subissent de fortes sanctions américaines, et occidentales de manière générale.
Problème : le Venezuela possède les premières réserves de pétrole au monde, et l’Iran détiendrait les seconds réserves de gaz.
Pour se passer éventuellement du pétrole et du gaz russes, il faut que ces deux pays puissent inonder le marché, même si ce sera difficile à court terme pour le gaz, car cela demande des infrastructures importantes.
Si la crise ukrainienne devait durer, on peut parier, sans trop de risques, que le Venezuela et l’Iran vont bientôt devenir des pays fréquentables.
Le besoin de nouvelles ressources en hydrocarbures aura aussi un impact direct sur la crise libyenne. Un retour à la normale en Libye permettrait de contribuer à se passer partiellement du gaz russe. On peut prendre le risque de s’avancer, pour dire que la crise ukrainienne va pousser à régler rapidement la crise libyenne.
Mardi 8 mars, le président américain Joe Biden a annoncé le boycott du pétrole russe. A elle seule, cette décision n’ pas d’impact significatif. Elle va juste déplacer la consommation, en changeant la source d’approvisionnement de certains pays.
Honnêtement , Biden est entrain de plonger son epee dans l’eau , aucune conséquence sur le marché et l’économie russe qui s’est préparée depuis des années à ces sanctions infondées. La Chine et l’inde , sans compter la Corée du Nord sont les plus aptes à recevoir ce gaz et ce pétrole russe. Démographique ment c’est plus de la moitié de la population du monde qui cherche à avoir ces ressources russes.
Mais le droit international est mis à rude épreuve ou même violé , puisque l’invasion de l’Arabie saoudite au Yémen n’a provoqué aucun tôlé de la part de toutes ces nations qui crient à l’ours en Ukraine , pourquoi ? C’est simple à comprendre puisque en premier, Zelinski est un juif d’origine et en second l’Ukraine a accueilli tous les fascistes de l’Europe ce qui soulage les pays européens.
La denazification prononcée par Poutine n’est pas anodine et les médias français travaillent beaucoup sur les sentiments en mettant en première ligne tous ces enfants ukrainiens innocents qui pleurent , mais qui subissent réellement l’affre de ces fascistes qui n’hésitent pas à tirer sur la population ukrainienne.
C’est pourtant un noble objectif lorsqu’il s’agit de favoriser le débat et d’accroître le pluralisme des idées. Mais il est de plus en plus axé sur la promotion de la « diversité » la plus superficielle et sur l’exclusion d’une gamme significative d’opinions et de pensées. Aujourd’hui, soit on est dans le camp du « Bien » et on adhère au récit dominant, soit on se retrouve ostracisé ou exclu. Une mécanique qui s’est emballée avec la « Cancel culture » ou « culture d’annulation », notamment en Amérique du Nord et maintenant en France. Alors que la presse soi-disant libre subit des pressions de plus en plus fortes pour se conformer au discours officiel, validé par le gouvernement, comment conserver les conditions du débat d’idées, l’une des pierres angulaires de la démocratie? À moins que le débat libre et ouvert ne finisse bientôt dans les poubelles de l’histoire?
Que reste t il du débat d’idée , lorsque des chaînes françaises ne diffusent que ce qu’elles veulent en s’appuyant énormément sur les mensonges de Zelinski qui apparaît , comme un véritable dictateur qui pousse à plus de guerre et ces images sont en boucle sur France 24, Euro news, LCI, BFM TV’ C NEWS et autres . Que reste t il de la démocratie européenne lors la libre expression est bafouée, lorsqu’on ne montre que ces insanités de Biden sur les sanctions débiles qu’il étale.
Sur les hydrocarbures , Il faut savoir que quel que soit les prix des hydrocarbures, les Américains ne seront pas pénalisés car ils disposent de cette ressource naturelle, alors que les Européens risquent de payer extrêmement cher leur suivisme des Américains.
Les décisions de Biden ne sont faites que pour « disloquer » l’UE ,car les positions des uns et des autres divergent.