Festival international du film du tourisme à Johannesburg : le documentaire algérien “al T’bal” décroche le prix d’argent

0
Festival international du film du tourisme à Johannesburg : le documentaire algérien "al T’bal" décroche le prix d'argent
Google Actualites 24H Algerie

Le film documentaire algérien “al T’bal” (Tambour), du réalisateur Salem Dahmani, de la wilaya d’Adrar, a décroché le prix d’argent “Silver” au Festival international du film du tourisme (International Tourism Film Festival Africa-ITFFA), tenu du 11 au 15 juin à Johannesburg, Afrique du Sud.

Salem Dahmani qui a exprimé, à l’APS, sa joie d’avoir remporté ce prix tant rêvé depuis ses débuts en audio-visuel, a avoué consacrer ses efforts à la promotion du riche patrimoine immatériel et matériel national, dont le legs culturel “al T’bal”, très répandu dans le grand Sud du pays, à Adrar en particulier.

Selon le réalisateur: “cette œuvre vient couronner des efforts de longue haleine dans la production audiovisuelle, photographies et documentaires, mettant en valeur le legs culturel séculaire local à la faveur également des rencontres et interviews avec des vieux et jeunes doués de ce genre artistique, dont El-Hadj Mohamed Aboudi et le jeune talent Abdelmalek Harzaoui”.

Cette œuvre tend, a-t-il expliqué, à élucider la dimension socioculturelle du T’bal, instrument, parmi tant d’autres, omniprésent dans les manifestations culturelles et populaires et élément essentiel pour toute cadence poétique rythmique chantant le quotidien de la région.

Ayant d’ores et déjà raflé d’autres prix nationaux, dont celui du meilleur film documentaire au Festival national de Cinéma-Toua d’Adrar, en sus d’un autre prix décroché aux Journées nationales cinématographiques du film du patrimoine tenu en 2021 dans la wilaya d’Oum-El-Bouaghi, l’œuvre “Tambour” retrace des scènes des divers sites touristiques de la wilaya, les

anciennes bâtisses, les oasis, dunes de sable, les tenues traditionnelles, les us et coutumes devant contribuer à la promotion de la destination touristique nationale, a conclu M. Dahmani.

Article précédentRencontre avec Alice Kaplan, historienne américaine : “Baya a beaucoup rafraîchit l’imaginaire en peinture”
Article suivantAlgérie-UE : un partenariat clé pour le développement de l’hydrogène vert

Laisser un commentaire