Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, s’adressera dimanche à la Ligue arabe au Caire, a annoncé, jeudi, l’organisation.
M. Lavrov rencontrera Ahmed Abou al-Gheit, secrétaire général de la Ligue arabe, ainsi que les représentants des 22 Etats membres. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov effectuera du 24 au 28 juillet une visite de travail dans quatre pays africains dont l’Egypte, à indiqué jeudi la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.
S’exprimant lors d’un point de presse, Zakharova a annoncé une tournée africaine de Lavrov en Afrique dans le cadre de la coopération entre la Russie et les pays du continent.
« Du 24 au 28 juillet, une visite de travail de Sergueï Lavrov aura lieu en Egypte, en Ouganda, en Ethiopie et en République du Congo », a-t-elle annoncé.
Serguei Lavrov Monsieur Lavrov reste un politicien de haute facture, un homme d’une rigueur extrême , un politicien hors pair de par ses connaissances du monde , des régions et des pays.
Monsieur Lavrov ne rend pas dans n’importe quel pays pour n’importe quoi , avec lui les résultats de sa politique sont probants et mènent vers des relations gagnant gagnant . Cette rigueur reste l’âme des russes qui ne » dancent pas pour des aveugles » . En Russie , on donne une grande importance aux vieux personnages : Le mot russe « dedouchka » se traduit littéralement par grand-père (ou papy). « Dedouchka » trouve son origine dans le mot « ded », qui, en russe, est une définition officielle de grand-père. Un sens plus large du mot « ded » est un vieil homme, synonyme du mot « starik » (ancien). Monsieur Lavrov reste un Dedouchka , car la plupart des dedouchkas modernes ont grandi en Union soviétique, où les enfants étaient élevés dans des rôles de genre stricts. Les femmes devaient veiller sur le foyer, cuisiner et s’occuper des enfants, tandis que les hommes étaient des piliers de la famille qui travaillaient beaucoup (franchement, les femmes travaillaient aussi, mais leur rôle principal était considéré comme celui de femme au foyer). Pas étonnant donc que les babouchkas aiment s’occuper des enfants, alors que les dedouchkas… pas tellement.
Monsieur Lavrov reste droit dans ses bottes et peu d’hommes politiques en ce monde , surtout occidental, ne peuvent se targuer d’avoir la stature de cet HOMME.
Que dire de cette visite , si ce n’est que le monde arabe est bien en phase avec la politique russe qui est l’élaboration d’un monde multipolaire et la révision de l’hégémonie du Dollars sur toutes les autres monnaies.