Le quatrième Festival du Film Méditerranéen d’Annaba a fait un retour très attendu, enchantant les habitants de la ville et les passionnés du septième art. L’ouverture, qui s’est déroulée le 24 avril au Théâtre régional Azzedine-Medjoubi, a été marquée par une ambiance festive et la présence imposante d’artistes de renom, tant algériens qu’internationaux.
Dans son discours inaugural, Soraya Mouloudji, ministre de la Culture et des Arts, a exprimé sa profonde gratitude envers tous ceux ayant contribué au succès de cette édition. Elle a également salué la présence distinguée des invités d’honneur, notamment les représentants des pays méditerranéens et particulièrement l’Italie, pays hôte de cet événement.
Elle a souligné l’importance des expériences cinématographiques variées présentées à Annaba, provenant de divers pays participants, aux côtés de célèbres figures du cinéma et d’experts chevronnés. Cette diversité contribue à approfondir le dialogue interculturel, à renforcer les liens et à favoriser les échanges culturels et artistiques au sein de l’industrie cinématographique.
La ministre a également annoncé un programme spécial dédié à la Palestine pour cette édition, en signe de soutien envers ce peuple résistant face à l’adversité.
Le wali d’Annaba a, de son côté, retracé l’histoire riche du cinéma algérien depuis ses débuts, mettant en avant la contribution significative du cinéma italien à l’échelle mondiale, en raison de son histoire, de sa qualité et de sa reconnaissance internationale.
Mohamed Allal, le commissaire du Festival, a souligné l’importance de cet événement pour Annaba, créé dans les années 1980, et exprimé son souhait de lui donner une nouvelle vision reflétant les évolutions actuelles du monde cinématographique.
La soirée s’est poursuivie avec la présentation des films en compétition par le jury, suivi d’une prestation musicale de Djam, qui a enflammé le public avec ses chansons « Nti m’heniya » et « Djôn maya », avant la projection de la comédie italienne « L’avenir sera radieux » de Nanni Moreti.
Hommages à Benallal, Ituño, Farès et Procacci
Des hommages ont également été rendus à des personnalités éminentes pour leurs engagements, ensembles de carrières ou contributions exceptionnelles au domaine cinématographique.
Le Grand artiste Rachid Benallal a reçu Le Jujubier d’or (El Annab el dhabi) en guise d’hommage pour son riche parcours dans le cinéma et la télévision. Emu jusqu’aux larmes, il a exprimé sa surprise à l’égard de cet hommage qui lui a été rendu par le festival. Benallal a consacré sa vie à l’écriture du scénario, au montage, à la formation et à la réalisation.
- L’actrice espagnole engagée Itziar Ituño Martínez, star de la série « La Casa De Papel », a reçu un trophée spécial pour son engagement, et a saisi l’occasion pour exprimer sa solidarité avec le peuple palestinien. Son geste a provoqué un tonnerre d’applaudissements dans la salle et une standing ovation aux cris de « Free free Palestine ».
- Absent à cause de son état de santé, le scénariste Tewfik Farès a été représenté par le réalisateur Bachir Derrais, chargé de recevoir le trophée en son nom et de remercier la ministre de la Culture et des Arts pour cet hommage.
- Le trophée destiné au producteur italien Domenico Procacci, qui n’a pas pu se rendre à Annaba, a été remis à la directrice de l’Institut culturel italien à Alger.
- Tenues traditionnelles algériennes sur tapis rouge
Le tapis rouge, orné de tenues traditionnelles algériennes, a ajouté une touche spéciale à la soirée. Les festivités se sont déroulées au cœur du cours de la Révolution, en face du Théâtre régional Azzedine Medjoubi, où la foule bônoise a pu profiter d’un dispositif artistique digne des plus grands festivals internationaux, avec musique, DJ, lumières, écrans géants et décors somptueux.
Les invités, jeunes et moins jeunes, ont capturé ces moments uniques avec leurs smartphones, admirant les magnifiques tenues de soirée portées par les personnalités présentes. Parmi elles, on compte Fizia Touggourti, Zahra Harkat, Rym Riahi, Imen Nouel, Numidia Lezoul, Adila Bendimerad, la grande actrice égyptienne Chirine, Chila Ikram Manara, Rym Takoucht et bien d’autres. Otmane Ben Daoud arborait une veste brodée de Fetla, tandis que Djam portait un costume orné d’appliques de style traditionnel. Les chanteurs Kader Japouni et le rappeur franco-algérien Fianso ont généreusement répondu aux nombreuses sollicitations de leurs fans pour des selfies.
L’artiste espagnole Itziar Ituno, star incontestée de cette ouverture, a magnifiquement porté un Badroun algérois revisité, ajoutant une touche d’élégance et de diversité culturelle à cet événement mémorable.
Le 4ème Festival du Film Méditerranéen d’Annaba est de retour. Un retour tant attendu par les annabis et les amateurs du 7e art. La reprise qui a eu lieu le 24 avril a été marquée par une ambiance festive au Théâtre régional Azzedine-Medjoubi et une présence en force d’artistes de renoms en Algériennes et dans le monde.
Dans son allocution d’ouverture, Soraya Mouloudji, ministre de la Culture et des Arts, a exprimé sa profonde gratitude à « tous ceux qui ont contribué à la réussite de cette édition ». « Je salue également la présence distinguée de nos invités d’honneur, les représentants des pays méditerranéens et amis, dont l’Italie, pays hôte de cette édition », a-t-elle dit.
Et d’ajouter : « la présence d’expériences cinématographiques au Festival d’Annaba, de divers pays participants, aux côtés de grands noms du 7e art et d’experts chevronnés, contribuera à approfondir le dialogue interculturel, à tisser des liens et à favoriser les échanges culturels et artistiques entre les acteurs et les créateurs de l’industrie cinématographique ».
« L’art est un engagement envers les questions humaines et une lutte pour la liberté, la dignité et la paix. C’est dans cet esprit qu’un programme spécial dédié à la Palestine est prévu pour cette édition, en signe de victoire pour ce peuple résistant face à l’agression criminelle », a-t-elle dit.
Le wali d’Annaba a, de son côté, retracé l’histoire riche du cinéma algérien depuis ses débuts, soulignant la contribution importante du cinéma italien à l’industrie cinématographique mondiale, en raison de son « histoire, de sa qualité, de son expérience et de sa reconnaissance internationale ».
Mohamed Allal, le commissaire du Festival, a précisé que la ville d’Annaba mérite bien ce festival, créé dans les années 1980 et auquel il souhaite donner une nouvelle vision qui reflète l’évolution que connaît le monde du cinema aujourd’hui.
Le public a eu ensuite l’opportunité de découvrir, via d’autres vidéos, les films en compétition. Le jury des trois catégories (longs et courts métrages et documentaires), a été présenté au public. La soirée s’est achevée sur une prestation musicales de Djam, qui a interprété « Nti m’heniya » et « Djôn maya» sous les acclamations du public, avant la projection de la comédie « L’avenir sera radieux » de l’italien Nanni Moreti.
Hommages à Benallal, Ituño, Farès et Procacci
Le Grand artiste Rachid Benallal a reçu Le Jujubier d’or (El Annab el dhabi) en guise d’hommage pour son riche parcours dans le cinéma et la télévision. Emu jusqu’aux larmes, il a exprimé sa surprise à l’égard de cet hommage qui lui a été rendu par le festival. Benallal a consacré sa vie à l’écriture du scénario, au montage, à la formation et à la réalisation.
L’autre trophée est revenu à l’actrice espagnole engagée Itziar Ituño Martínez, star de la série Casa De Papel,cette dernière a saisi l’occasion pour exprimer sa solidarité au peuple Palestinien. Un geste qui a provoqué un tonnerre d’applaudissements dans la salle et une standing ovation aux cris de « Free free Palestine ».
Absent à cette cérémonie à cause de son état de santé, le scénariste Tewfik Farès a chargé le réalisateur Bachir Derrais de recevoir le trophée à sa place et de remercier la ministre de la culture et des arts pour cet hommage.
De son côté, La directrice de l’Institut culturel italien à Alger a reçu, e trophée destiné au producteur italien Domenico Procacci qui n’a pas pu faire le déplacement à Annaba.
Un tapis rouge en tenues traditionnelles algériennes
Les Bônois ne sont pas prêts d’oublier la nuit de ce 24 avril 2024. Un dispositif artistique digne d’un grand festival international a été placé au centre du cours de la Révolution en face l’entrée du Théâtre régional Azzedine Medjoubi. Musique, DJ, lumière, écrans géants et décors ont rehaussé le tapis rouge qui a drainé une large foule de Bônois.
L’arrivée de L’artiste espagnole Itziar Ituno en Karakou algérois revisité a été un des clou de cette soirée mémorable.
Les jeunes et moins jeunes, équipés de leurs smartphones, ont saisi l’occasion d’immortaliser ces moments uniques. Ils ont également eu le plaisir d’admirer les belles tenues de soirée portées magnifiquement par Fizia Touggourti, Zahra Harkat, Rym Riahi, Imen Nouel, Numidia Lezoul, Adila Bendimerad, ainsi que la grande actrice égyptienne Chirine, Chila Ikram Manara et Rym Takoucht, parmi d’autres personnalités présentes.
Otmane Ben Daoud était vêtu d’une veste brodée de Fetla, tandis que Djam arborait un costume orné d’appliques de style traditionnel. Pendant ce temps, le chanteur Kader Japouni et le rappeur franco-algérien Fianso ont généreusement pris le temps de répondre positivement aux innombrables demandes de selfies de leurs fans, créant ainsi des souvenirs inoubliables pour tous.
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