Une convention cadre a été signée, mardi à Alger, entre le Groupe pharmaceutique public Saidal et l’Université d’Alger 1, Benyoucef Benkhedda, en vue de « renforcer la coopération » dans le domaine de la formation des étudiants en pharmacie et les travailleurs du groupe.
La cérémonie de signature de la convention-cadre avec l’université d’Alger 1, pour la formation des étudiants de la faculté de pharmacie, s’est déroulée au siège de la faculté de médecine d’Alger, en présence des responsables de différents départements.
De son côté, la P-dg du Groupe Saidal, Mme Fatouma Akacem, a souligné que cet accord-cadre « nous permettra de coopérer ensemble pour la formation des étudiants et des travailleurs de Saidal ».
Elle a estimé à cet effet que pour une convention de cette envergure « le choix se justifie à plus d’un titre, ajoutant qu’il s’agit d’un aboutissement d’une tradition ancienne de coopération entre les universités et le groupe Saidal dans le domaine d’échange technique et scientifique ».
Cette collaboration, a-t-elle affirmé, « contribuera sans aucun doute à la réalisation de nos principaux objectifs et apportera une impulsion nouvelle au dynamisme de notre coopération « .
Mme Akacem a mis l’accent sur la recherche qui représente, selon elle, « un axe stratégique » pour le groupe Saidal qui s’est « toujours engagé » pour avoir une vraie connexion entre la recherche scientifique et le marché du travail, notamment, dit-elle, dans le secteur pharmaceutique où la formation continue est « essentielle » et devant être « mise à jour ».
Le recteur de l’université d’Alger 1, Abdelhakim Bentellis, a quant à lui, estimé que le choix du Groupe Saidal « n’est pas fortuit », ajoutant que le groupe Saidal est l’une des plus « grandes entreprises de l’industrie pharmaceutiques ».
Il s’est dit « convaincu » de l’utilité de cette coopération qui, selon lui, « permettra aux étudiants de pouvoir rentrer dans le monde économique d’une manière générale ».
M.Bentellis a estimé également que « la recherche et le développement ne peuvent se faire qu’avec un partenariat avec les universités ».